Si tout le monde ou presque se doute de l'existence d'une "guerre froide", toujours persistante, entre l'Algérie et le Maroc, très peu en connaissent le volet aérien.
De 1975 au début des années 90, une intense activité aérienne, parfois ponctuée de combats, a eu lieu sur la bande frontalière Algéro-Marocaine. Ceci sans parler des efforts anti-aériens entrepris par le Polisario, sur ses terres, contre le Maroc et qui a pratiquement décimé l'aviation Alaouite.
Par deux fois des avions portant la cocarde rouge ont essayé d'user un supposé droit de poursuite contre des éléments du Polisario en territoire Algérien, on été abattu, selon le site "ejection history" qui recense les crash (accidentels ou pas) d'avions militaires dans le monde.
L'écrivain et journaliste, spécialiste de l'aviation, Tom Cooper raconte l'histoire d'un Mirage F1 marocain qui, en 1986, se mit à poursuivre une colonne sahraoui à l'intérieur du territoire Algérien. Immédiatement détecté, il fut pris en chasse par deux Mig 21 Algériens qui le guidèrent vers la zone de couverture d'une batterie anti-aérienne. Le Mirage F1, illuminé par le radar mais volontairement épargné a du s'engager dans des manœuvres évasives, larguant au passage et en urgence, réservoirs de carburant et armement. La batterie Algérienne l'aura laissé s'épuiser jusqu'à ce que le pilote décide de fuir au Maroc.
De 1975 au début des années 90, une intense activité aérienne, parfois ponctuée de combats, a eu lieu sur la bande frontalière Algéro-Marocaine. Ceci sans parler des efforts anti-aériens entrepris par le Polisario, sur ses terres, contre le Maroc et qui a pratiquement décimé l'aviation Alaouite.
Par deux fois des avions portant la cocarde rouge ont essayé d'user un supposé droit de poursuite contre des éléments du Polisario en territoire Algérien, on été abattu, selon le site "ejection history" qui recense les crash (accidentels ou pas) d'avions militaires dans le monde.
L'écrivain et journaliste, spécialiste de l'aviation, Tom Cooper raconte l'histoire d'un Mirage F1 marocain qui, en 1986, se mit à poursuivre une colonne sahraoui à l'intérieur du territoire Algérien. Immédiatement détecté, il fut pris en chasse par deux Mig 21 Algériens qui le guidèrent vers la zone de couverture d'une batterie anti-aérienne. Le Mirage F1, illuminé par le radar mais volontairement épargné a du s'engager dans des manœuvres évasives, larguant au passage et en urgence, réservoirs de carburant et armement. La batterie Algérienne l'aura laissé s'épuiser jusqu'à ce que le pilote décide de fuir au Maroc.